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« Ce que j'écris en ce moment dans un cachot du fort du Taureau, je l'ai écrit et je l'écrirai pendant l'éternité, sur une table, avec une plume, sous des habits, dans des circonstances toutes semblables. [...] C'est du nouveau toujours vieux, et du vieux toujours nouveau. Les curieux de vie ultra-terrestre pourront cependant sourire à une conclusion mathématique qui leur octroie, non pas seulement l'immortalité, mais l'éternité ? Le nombre de nos sosies est infini dans le temps et dans l'espace. En conscience, on ne peut guère exiger davantage. Ces sosies sont en chair et en os, voire en pantalon et paletot, en crinoline et en chignon. Ce ne sont point là des fantômes, c'est de l'actualité éternisée. Voici néanmoins un grand défaut : il n'y a pas de progrès. Hélas ! non, ce sont des rééditions vulgaires, des redites. Tels les exemplaires des mondes passés, tel ceux des mondes futurs. »

Auguste Blanqui, L'Éternité par les astres






The Final Countdown, reprise de Laibach, sur l'album NATO






L'hymne du Nationalist Party maltais pour les élections de 1998 était We Take the Chance, un single de dance music du duo allemand Modern Talking. Modern Talking utilise dès le début du morceau un sample bien reconnaissable du tube The Final Countdown qui est un tube du groupe Europe. The Final Countdown du groupe Europe est sorti en 1986 et s'est vendu à un million d'exemplaires rien qu'en France. Les paroles sont les suivantes : « Nous partons tous ensemble. Mais c'est quand même un adieu. Peut-être reviendrons-nous sur Terre, qui sait ? Je suppose qu'il n'y a personne à blâmer. Nous quittons le sol (quittons le sol). Plus rien ne sera jamais plus comme avant. C'est le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Oh. Nous nous dirigeons vers Vénus (Vénus). Mais nous restons debout. Car peut-être nous auront-ils vus (nous auront-ils vus). Et peut-être nous souhaitent-ils déjà la bienvenue à tous, ouais. Avec tant d'années-lumière encore à parcourir. Et de choses à découvrir (à découvrir). Je suis sûr que la Terre nous manquera. C'est le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Oh. Le compte à rebours final, oh. C'est le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Oh. C'est le compte à rebours final. Nous partons ensemble. Le compte à rebours final. Elle manquera beaucoup à tout le monde. C'est le compte à rebours final. C'est le compte à rebours final. Oh. C'est le compte à rebours final, ouais. » C'est quand même génial ! C'est quand même génial quand on y pense, oui c'est quand même génial, c'est quand même carrément génial quand on y pense, c'est quand même carrément vraiment totalement voire totalitairement génial quand on y pense un groupe qui s'appelle Europe et qui sort un tube dont les paroles sont : « Nous partons tous ensemble. Mais quand même c’est un adieu. Peut-être que nous reviendrons sur Terre, qui sait ?... C'est le compte à rebours final. Le compte à rebours final. Oh. Nous nous dirigeons vers Vénus (Vénus)... C'est le compte à rebours final. C'est le compte à rebours final. Oh. C'est le compte à rebours final, ouais. » Ouais, c'est quand même génial. It's the Final Countdown ! résonne comme un avertissement. It's the Final Countdown ! résonne comme une prophétie. Les gars, en Europe, ou mieux : avec l'Europe, on se fait un max d'argent, et après : pfouuuuuuu ! on part dans l'Espace, ciao bye-bye ! C'est quand même assez génial quand on y pense. C'est le compte à rebours final. C'est l'Europe. C'est le tube du groupe Europe. Le groupe slovène Laibach a repris cette chanson dans les années 90. Dans leur reprise fameuse et très kitsch parue sur l'album NATO un album de reprises sorti en 1994, nous ne nous dirigeons plus vers Vénus mais vers Mars. Laibach est le premier groupe à avoir fait une tournée en Corée du Nord. Laibach est aussi connu pour avoir signé la B.O. du film Iron Sky dont le synopsis est le suivant : les nazis se sont réfugiés sur la Lune en 1945 où ils ont établi leur Quatrième Reich. Laibach est un groupe de musique issu d'un mouvement d'artistes slovènes appelé NSK : Neue Slovenish Kunst, Nouvel Art Slovène. Laibach a créé avec d'autres artistes de ce mouvement une micro-nation. Laibach a créé avec d'autres artistes de ce mouvement une micro-nation sans territoire. Laibach a créé avec d'autres artistes de ce mouvement une micro-nation appelée elle aussi NSK. NSK est une nation sans territoire. « L'État NSK est un état dans le temps », lit-on sur le site web passport.nsk.si où l'on peut se procurer un passeport du NSK. « L'État NSK est un état dans le temps, un état sans territoire physique et sans frontières nationales, un état d’esprit. » NSK est une nation sans territoire. NSK est une nation sans territoire mais qui délivre des passeports. NSK est une nation sans territoire, non reconnue par la Communauté internationale, mais qui délivre des documents officiels, notamment des passeports. NSK est une nation sans territoire, non reconnue par la Communauté internationale, qui, le temps de performances artistiques, déclare certains lieux territoires de l'État NSK. Durant le siège de Sarajevo (1992-1996), les passeports NSK ont permis à des centaines de personnes de fuir la ville. NSK est une nation sans territoire, non reconnue par la Communauté internationale, qui, en 2017, a ouvert un pavillon à la Biennale de Venise et a fait déclarer, lors de son inauguration, au philosophe et ambassadeur Slavoj Zizek que « L'unicité de NSK réside dans l'idée d'un "état sans état". » NSK est une nation sans territoire, non reconnue par la Communauté internationale, dont l'unicité réside dans l'idée d'un "état sans état". Je répète : NSK est une une nation sans territoire, non reconnue par la Communauté internationale, dont l'unicité réside dans l'idée d'un "état sans état". l'idée d'un "état sans état". l'idée d'un "état sans état". Je répète : l'idée d'un "état sans état". Je répète : l'idée d'un "état sans état". Je répète : l'idée d'un "état sans état". Je répète : l'idée d'un "état sans état". Je répète : l'idée d'un "état sans état". Je répète : l'idée d'un "état sans état". NSK est un état sans territoire. NSK est un état virtuel. Comme l'ordre de Malte. Depuis que Napoléon a chassé les chevaliers de l'île à la fin du XVIIIème, l'ordre de Malte est un état virtuel. L'ordre de Malte est un état sans territoire mais qui délivre des passeports. Une micro-nation. L'ordre de Malte est passé de nation-micro à micro-nation. Nation-micro. Micro-nation. Nation-micro. Micro-nation. État physique. État virtuel. L'ordre de Malte a été le premier état virtuel du monde. L'ÉTAT NSK EST LE PREMIER ÉTAT GLOBAL DANS L'UNIVERS. DEVENEZ CITOYEN DU PREMIER ÉTAT GLOBAL DANS L'UNIVERS. L'ÉTAT NSK. UN ÉTAT SANS ÉTAT.

Dans la chanson WAT
Extraite de l'album WAT
Laibach
Déclare
We are time
We are time
Nous sommes le temps
Nous sommes le temps
We are time
We are time
Nous sommes le temps
Nous sommes le temps
Déclare
Laibach



Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. Le Temps n'existe pas. 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Nous sommes le Temps. Nous sommes le Temps. Nous sommes le Temps. Nous sommes le Temps. Nous sommes le Temps. Nous sommes le Temps. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. 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We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. We are Time. Le Temps n'a pas d'existence objective. Hors de nous, il n'y a pas de Temps. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de maintenir le mythe d'un temps objectif. Pour maintenir sa productivité au plus haut niveau, l'empire néolibéral a besoin de contrôler le Temps. C'est de ce contrôle qu'il tirent tout leur pouvoir. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. Qui contrôle le Temps contrôle les hommes. A Malte, toute l'Histoire a lieu simultanément, déclare Thomas Pynchon dans son roman, lui-même très singulier, V., roman prophétique qui révèle la malédiction du XXème siècle et en annonce les répercutions sur le nôtre en ces termes : « S'il existe une quelconque morale politique en ce bas monde, elle réside dans le fait que nous menons les affaires de ce siècle avec une vision des choses dédoublée et absolument intolérable. Droite et gauche ; la serre chaude et la rue. La droite ne peut vivre et travailler qu'hermétiquement, dans la serre chaude du passé, cependant que la gauche, dehors, poursuit son programme dans les rues, en utilisant la violence populaire dirigée. Et elle ne peut vivre que dans le rêve de l'avenir. Et que devient le présent réel, les hommes-qui-ne- font-pas-de-politique, le juste milieu, jadis seul respectable ? Tombés en désuétude ; en tout cas, perdus de vue... Dans un Occident où s'opposent de tels extrêmes, nous pouvons nous attendre, pour le moins, à une population fortement "dissidente", dans les quelques années qui vont suivre. » Depuis, le néolibéralisme a balayé toutes les oppositions traditionnelles entre droite et gauche et a décidé de remporter la bataille une fois pour toute en écrasant des têtes comme en lavant des cerveaux. La physique du XVIIème continue d'être enseignée à l'école, quand bien même la révolution scientifique, encore en cours aujourd'hui, initiée au XXème par Albert Einstein (la relativité) et Niels Bohr (la physique quantique) est à l'origine des découvertes qui ont permis à l'empire néolibéral de déployer son réseau sur toute la planète et de la recouvrir de son voile. Aucun de ses satellites ne pourrait se faire le relais de sa violence et lui assurer le contrôle de la communication si ses plus hautes instances scientifiques n'avaient pas assimilé et digéré les équations les plus complexes de théories révolutionnaires qui cachent en leur coeur une bombe bien plus puissante que la bombe nucléaire, une vraie bombe à retardement : Nous sommes le Temps. Les élites de la bourgeoisie libérale s'allient avec les pouvoirs religieux. Elles s'allient avec les pouvoirs médiatiques. Elles s'allient avec les pouvoirs militaires. Elles vont jusqu'à détruire, si c'est nécessaire, des pans entiers de l'Histoire, des pans entiers de la connaissance, des pans entiers de la conscience. Elles détruisent les traces de leur destruction et à la place des trous béants laissés dans la conscience installent leur grille de contrôle. Puis nous assimilent tendrement, nous convertissent efficacement à leur idéologie, en utilisant des méthodes radicales : lavage de cerveau, SÉDUCTION LIBÉRALE. Toute la violence du système. Toute la violence. Dépasse la violence. Toute la violence dépasse la violence. Toute la violence est un système qui nous dépasse. Est un système qui nous dépasse. Et nous décompose. Et nous décompose. Toute cette violence est décomposition. Toute cette violence est décomposition. Toute cette violence est décomposition et solitude. Toute cette violence est décomposition et solitude. Et le cœur de verre. Et le cœur de verre. Et le cœur de verre. Et le cœur de verre. Et le cœur de verre. Et le cœur de verre. Et le cœur de verre du système. Et le cœur de verre du système. Est ouvert. Est ouvert. Est grand ouvert. Est grand ouvert. Et m’aspire. Il m’aspire. Il m’aspire. Il est ouvert. Il est ouvert comme le système. Il est ouvert comme le système. Il est ouvert et m’aspire. Il est ouvert, libéral, comme un aspirateur. Il est tombé du ciel. C’est lui la soucoupe. C’est lui le grand aspirateur. C’est lui le cœur de verre. Il aspire toutes les peurs. Il s’en nourrit. C’est le grand extincteur. Le grand cœur de verre. Depuis tout petit je suis ailleurs. Depuis tout petit je suis ailleurs. Je n’ai jamais bougé mais je suis allé partout. Je n’ai jamais bougé mais je suis allé partout. Je n’ai jamais pris de drogue mais j’ai plané dans tout l’univers. Je n’ai jamais pris de drogue mais j’ai plané dans tout l’univers. Nous sommes connectés à une infinité de créatures et d’esprits. Nous sommes connectés à une communauté infinie. Nous sommes infinis. Il n’y a que la mousse. Il n’y a que la mousse d’univers. En astrophysique on dit qu'il y a une infinité d’univers qui prennent la forme de bulles dans une mousse. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. Une mousse d'univers. C'est fou ça. C'est fou ça. C'est fou. Il y a une infinité de moi. Il y a une infinité de moi. Il y a une infinité d'univers et une infinité de moi. Il y a une infinité d'univers et une infinité de moi qui prennent la forme de bulles dans les bulles. Cette mousse ne finira jamais. Cette mousse est infinie. Cette mousse est l’infini. L’infini et la mousse se confondent. Il y a une infinité d’univers. Il y a une infinité d’univers qui ont la forme de bulles dans une mousse. Il y a une infinité d’univers et une infinité de moi. La personne que vous croyez être n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera jamais. L’identité est une illusion. Devenir quelqu’un n’a aucune signification. Il y a une infinité d’univers. Et une infinité de scénarios. Il n’y a pas d’Identité. Il n’y a pas d’Individu. Il n’y a Personne. Nous sommes tous dans la mousse. Il n’y a pas de Direction. Il n’y a pas de Progrès. Il n’y a pas de Hiérarchie. Il n’y a pas de Transcendance. Et il n'y a pas de Futur. Car il n’y a Rien. Il n’y a Rien que la mousse. Nous sommes tous dans la mousse. Nous sommes tous connectés. Il n'y a Rien. Il n’y a que la mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. La mousse. 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« Quand je parlerais toutes les langues des hommes et des Anges, si je n'ai pas l’amour, je suis comme un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. Quand j'aurais le don de prophétie, que je connaîtrais tous les mystères, et que je posséderais toute science ; quand j'aurais même toute la foi, jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas l’amour, je ne suis rien. Quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais mon corps aux flammes, si je n'ai pas l’amour, tout cela ne me sert à rien. L’amour est patient, l’amour est plein de bonté. L’amour n'est point envieux, l’amour n'agit pas avec témérité, l’amour ne s'enfle pas d'orgueil ; l’amour n'est pas ambitieux, l’amour ne cherche pas ses propres intérêts, l’amour ne s'irrite pas, l’amour ne pense pas le mal, l’amour ne se réjouit pas de l'injustice, mais l’amour se réjouit de la vérité ; l’amour souffre tout, l’amour croit tout, l’amour espère tout, l’amour supporte tout. L’amour ne finira jamais ; pas même lorsque les prophéties disparaîtront, que les langues cesseront, et que la science sera détruite. »